Pleg ’92

Entre humour et mélancolie, ces récits sont l’occasion pour eux d’explorer une fois de plus les écritures auto fictives en cherchant des formes nouvelles. 

Pour cette performance ils reviennent sur quelques images, tant troublantes que fantasques : un châle en fausse soie, une forêt pleine de lucioles paumées, un corps pris au piège, des mains qui écrasent la mousse d’un chêne. Lequel de ces souvenirs est-il réel ? Dans un dialogue tronqué une autre question nous revient en boucle : est-ce que ça se voit ? De fil en aguille, entre les mots et les gestes, émerge le récit troublant d’une femme bulgare qui apprend à résister à la nuit et à éviter les pièges.

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Production

Commande du festival Concordanse